cavalier:

Kim:one directon-What Makes You beautiful

Luke:one republic-counting stars

Tina:Louane-No

dragon:

Tsunami:Marina Kaye-homeless

Roc:Amir-on dirait

Brasier:Ed Sheeran-sape ok you

Luke naquit 200 ans après son dragon, mais 200 ans, ce n'était pas beaucoup...

Luke était un jeune homme de 15 ans, les cheveux noirs de jais, toujours en bataille, des yeux verts profonds, tels des émeraudes dans les profondeurs de la mer... Il été grand pour son âge, 1m 70, mais il aimait la hauteur. Il n'a pas peur de grand chose et il est toujours à la recherche de sensation fortes... Il rêve de rencontrer un dragon, mais il voudrait plus que tout chevaucher un dragon du vol de la terre. Il lui arrive de «voir» des choses, comme les sentiments des gens.

Il a longtemps chercher des informations sur le «lien» qui uni dragon et humain, des indices pour savoir si il était destiné à devenir cavalier dragon... Mais ses chances de l'être étaient réduites à moins de 2%... il se douter que rien de toute les expériences et sensations qu'il pourrait réalisé si il chevaucher un dragon ne se passeraient jamais... Quand il été petit, il rêvé déjà de voler, sentir ses fesses décollées du dos de son dragon et d'affronter des ennemis, mais, avec le temps, il avait commencé à prendre courage et essayer de réaliser son rêve de gamin. Aujourd'hui, il été sûr de ne pas réussir à faire devenir réalité le rêve d'une vie.

Il pensa ce jour là, enfin, que sûrement des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants avaient le même rêve que lui, et qu'il n'était pas seul. Il ressenti une vague de compassion, de tendresse et de pitié, mais aussi de colère, énervé envers ceux qui avaient étaient choisis, alors qu'ils ne voulaient pas, il sentit aussi l'injustice, envers tous les gens, qui eux, voulaient devenirs cavaliers dragons... Il trouva que le monde été bien injuste, mais il trouva aussi un autre résonnement:

«les gens qui ne sont pas cavaliers dragons ne sont peut être pas à la hauteur de l'être... ils n'ont peut être pas les capacités requises ou nécessaires...»

Mais il l'abandonna vite car plusieurs des adultes qu'il connaissait le mérités amplement et aucun d'eux n'étaient cavaliers dragons...

Luke se tenait au centre de la salle de la bibliothèque réservée aux dragons, techniques de combats, et aux mystères du lien. Il été assis sur son fauteuil habituel, celui rouge bordeaux en velours, avec les accoudoirs aux motifs complexes de batailles entre les vols.

Il observé la grande étagère avec toutes ses rangée de livres qui se tenaient en face de lui. Il réfléchissait... Son index posé sous le nez, le pouce sous le menton, il regarder un livre en particulier, au milieu des autres, sa reliure de cuir vieillie, ce livre l'attiré... Il se leva doucement de son fauteuil, les mains sur l'accoudoir, il fit un pas, puis s'avança vers l'étagère en bois de chêne qui prenait tout le mur gauche de la pièce.

Il s'arrêta net, juste devant le livre. Il s’intitulait: «les dragons du par-de-là». Il saisit le livre et regarda la 4ème de couverture, voici ce qui y est écrit:

Ce livre, toi qui l'as trouvé, ouvre le si tu veux savoir si un dragon t'attend,dans un coin de Drakaret...

Gard à toi, tu pourrait être déçu.Mais sache que ce livre n'est pas comme les autres...

Luke regarda ensuite la première de couverture, cherchant le nom de l'auteur, en vain. Il

ouvrit le livre avec précaution, regarda la première page, mais elle été blanche. Il tourna

la page, elle été blanche aussi. Il courut jusqu'au bureau de note et saisis une plume et de l'encre. Il récupéra le livre et se posa avec son «matériel» sur son fauteuil. Il regarda avec attention la page blanche et trempa sa plume. Il écrit sur le livre:

-bonjour,je m'appelle Luke,est ce que je suis destiné à devenir cavalier dragon? Si oui, qui est mon dragon?

Une étrange écriture, pas de la main d'un homme, apparut en dessous de son message:

-bonjour,Luke. Oui,tu es cavalier dragon, mais tu devais naître dans 100 ans... Je ne suis

3

pas encore prête...

Luke sursauta et décolla légèrement de son siège. L'écriture venait de la patte d'un dragon, d'une dragonne précisément, et c'est sa dragonne. Il manqua de s'évanouir. Il été si heureux, étonné, chamboulé... Il demanda à son interlocutrice:

-Qui est-tu?Je viens d'Europé, et toi?

Il attendit une minute puis l'écriture réapparue:

-Je me nomme Tsunami, je suis une dragonne du vol de l'eau, je suis très heureuse de te rencontrer, mais quel âge a-tu?

Luke fixait, bouche béante, la feuille. Il répondu,en retrempant sa plume dans l'encrier:

-Moi aussi, je suis très heureux de me savoir cavalier dragon, j'ai 15 ans... Mais sais tu comment venir me chercher?

Tsunami répondue:

-Je suis heureuse d'apprendre que tu voulais être cavalier... Tu as déjà l'âge de partir accomplir ta quête... Nous n'avons que peu de temps... Je viendrais te chercher demain, à 11h précise... Je ne sais pas encore qui seront nos camarades de voyage, maisje t'expliquerais tout demain, pendant le trajet jusqu'à chez le divinateur...

Luke réfléchi longtemps...Il été inquiet et excité... Il resta devant le papier, ou leur dialogue été inscrit. Elle disait que le temps été court... qu'il partait demain et qu'ils ne seraient pas seuls... beaucoup d'infos à accumulés d'un coup...

Il été inquiet et excité.Il ajouta:

-Peut tu me montrer ou tu es et à quoi tu ressemble?

Il se sentit légèrement honteux de doutait de la confiance d'un dragon... Quelques minutes plus tard, Tsunami répondue:

-Bien sur, va à la page 10, tu écrira alors: «Tsunami»

Luke ne répondit pas... Il se dépêcha de feuilletait le livre, une fois la page trouvée, il inscrivit le mot: «Tsunami».

Il se sentit transporté dans un monde parallèle, il été en apesanteur, il lévitait dans un étrange espace gris, sans fin ni commencement. Il ne sentait ni le froid, ni la faim, ni la douleur... Il resta ainsi quelques minutes, puis sentit ses sens revenir à lui. Il tomba brutalement (du moins c'est ce qu'il cru) et s'écrasa contre... et bien il ne savait pas contre quoi... Il examina l'endroit avec précision puis fini par réalisé qu'il été dans l'eau. Il leva les yeux et aperçu des milliers de poissons de toutes les couleurs nageaient au dessus de lui, orange, vert, bleu marine, jaune ocre et bien d'autres... C'était magnifique... Il est plongeait dans un monde presque imaginaire. Puis, une voix douce et rassurante s'éleva dans sa tête:

-Te voilà enfin... C'est moi, Tsunami. Je ne t'imaginais pas comme ça... Plus, petit, mignon et brun...

Luke ne savait pas quoi répondre, devait-il le prendre comme un compliment?

Il dit:

-Mais ou est-tu?

-Juste en dessous de toi... Répondit-elle en faisant sursauter Luke qui manqua de s'étouffer. Puis, il réalisa qu'il avait parler sous l'eau et qu'il éprouvé aucune envie de remonter à la surface. Il baissa donc les yeux pour observait sa dragonne, qui se trouvait être du vol de l'eau...

Quelle fût sa surprise en découvrant la grande masse bleu foncée munit d'ailes, grandes comme des voiliers, si ce n'est plus... Tsunami était très belle, avec des petites taches vertes... Certaines de ces taches clignotaient en bleu ciel. Elle leva ses grands yeux verts foncés et aperçu son cavalier, elle lui sourit puis dit, encore par télépathie:

-Je ne peux te faire rester plus longtemps, nous nous reverrons demain, tache de tout faire au mieux, préparer tes affaires mes aussi dire au revoir à tes proches, même si ce n'est peux être pas un au revoir...

4

Cette dernière phrase ne lui plut guère mais il fit la sourde oreille... L’apesanteur revint et il ne sentit plus rien... Il revint rapidement à la bibliothèque.

. Il reposa le livre à sa place, ainsi que l'encrier et la plume. Puis, il dévala les escaliers de la bibliothèque, il poussa malencontreusement le bibliothécaire et un étudiant qui passait par là...

Il sorti de la bibliothèque et manqua de s'écraser sur la route en terre battue du village. Il regarda les calèches, chariots, stands de marchandises et passants qui passaient sur la place sans prêtaient attention à lui.

Il se releva vite et courut vers sa chaumière ou sa mère préparée un ragoût de bouquetin, que son père avait sûrement fraîchement capturé ce matin. Une odeur alléchante sortait de la cheminée, ou devait brûler un feu de bois. Son père devait être parti au travail à cette heure ci. D'ailleurs, l'église du village sonnée 12h.

[ suite en cours.. ]

Prologue...

-Tsunami...

Océan regarda sa fille, dragonette du vol de l'eau... Elle été bleu foncée, comme les fonds marins. Constellée de petites taches bleues turquoise et verte. Ces taches clignotais en bleu ciel et vert fluo. Elles formaient des motifs très précis sur son corps, petit et fragile.

Elle avait mit moins de temps que ses frères et sœurs pour casser sa coquille, Océan et sa compagne Corail savaient qu'elle serait une battante et qu'elle n'abandonnerais jamais. Mais il savait aussi que le monde de Drakaret regorgeait de nombreux dangers que même le courage ne pouvait surmonter seul...

Drakaret, ce monde peuplé de nombreuses espèces animales et végétales... Mais ce monde et surtout peuplé de dragons, mais aussi de la plus dangereuse des créatures que Drakaret n'ai jamais connu...l'homme. Cette race, certe, petite, mais inventrice d'innombrable invention. Les dragons, ceux du feu, de l'eau, de la terre ou de l'air n'étaient pas à l'abrient des dangers que l'homme créer.

Sur Drakaret, les hommes, du moins, certains d'entre eux, on le droit à devenir «cavalier dragon». Les cavaliers dragons, ce sont les hommes destinés à chevaucher un dragon pour le reste de leur vie. Ils ont tous une mission à accomplir, et une fois la mission remplit, ils peuvent chevaucher leur dragon et toute liberté, en parcourant les airs mais aussi les mers et la terre. La vie d'un cavalier dragon et toujours périlleuse, mais méritante et incroyable. Effectivement, voler, est une sensation unique et merveilleuse. Mais les traqueurs de dragons sont nombreux et les dangers et conflits entre dragons sont plus que jamais en surnombre. Une mission encore plus dangereuse et étrange que les autres (car vois tu, les missions sont toute plus étranges les unes que les autres...) se préparait. Les rumeurs qui se tramaient à son sujet n'étaient que plus lugubres les unes que les autres. Et on disait que les «élus», ces 3 dragons et leurs cavaliers, accompliraient la mission, pour la survie des hommes et des dragons. Et voilà que, 2 ans plus tard, une prophétie déclarait par le divinateur, un dragon puissant et sage, vivant depuis des milliers d’années annoncée la fin des temps:

-Le vent hurle,le vent souffle.

-Je suis à bout de souffle...

-Le monde ne tiendra plus bien longtemps.

-L'heure du cataclysme sonne maintenant.

-Trouvez les pierres de vies, puis positionnaient les sur la cime du monde.

-La première pierre tu trouveras, là ou la lumière ne peut entrer.

-Dans les tréfonds du monde, l'entrée de la nuit...

-Conseil de prudence tu entendra, mais sagesse tu devras utilisée.

-La pierre tu découvriras, dans l'entre de la plus lumineuse des créatures de Drakaret.

-Pierre de feu, agressivité, prend garde à l'ami rusé.

-Deuxième pierre et épreuve de courage, sacrifier tu devras...

-Les coups d'un autre monde tu affronteras,

-Et gars au démon qui enterra ton camarade lié.

1

-La pierre numéro trois sera là ou repose la chaleur de la terre.

-Dans les profondeurs de l'enclave de feu, mais pas en Eropue.

-Dangers surgiront de tout côté,

-Au moment décisif.

-Europé,territoire du feu...

-Quarfie,territoire de la terre...

-Maquirée,l'air prospère...

-Enfin,Anécoie, le royaume marin.

-Vite, récupérez les pierres, si le monde vous importe.

Océan avait commencé à s’inquiéter quand sa compagne était tombé enceinte... Pour lui, elle et leurs petits. Maintenant, il savait qu'il aurait du partir dans l'océan, loin du monde extérieur.

Tsunami rugit doucement puis commença à regarder autour d'elle. Elle aperçue alors le tas de viande coupé en petit morceaux par sa maman. Elle gémit puis se mit à se dandinée en battant des ailes pour y accédée. Elle voleta sur place puis se fracassa sur la terre battue. Elle retenta sans plus de réussite, elle employa alors un autre moyen:elle marcha doucement petit à petit, et cela porta ses fruits. Elle mordit à belles dents dans le tas puis régurgita la viande. Elle retenta puis mâchât, cette fois. Elle ne réussie à avaler qu'une petite partie de son repas...

Océan regarda tendrement sa petite dragonette, puis se dit que finalement, il doit rester avec sa famille, car il ne pourrait pas songé à se séparé de sa compagne ou de ses petits.

Corail regarda son compagnon, perplexe. Elle savait que quelque chose le tracasser, car les dragons lisent dans les cœurs et les pensées. Mais les dragons peuvent aussi empêchait les autres dragons de lire en eux. Et Corail se doutait de quelque chose...mais quoi? Alors elle communiqua par télépathie: (car les dragons communiquent par télépathie et normalement...)

-Océan, je sens que tu ne vas pas bien, qui à t-il? Nos petits sont merveilleux...

Océan jeta un sombre et rapide coup d'œil à Corail... Il lui répondit:

-Ne lis pas en moi maintenant s'il te plaît...Je suis partagé.

Corail ne lui força pas la main. Elle sait bien qu'un dragon et son compagnon encore plus,est sensible. Mieux vaut ne pas énerver un dragon du vol de l'eau...

Elle songea à ses dragonets... Ils étaient si précieux pour elle... Si jamais il leur arrivaient malheur? Que pourrait elle faire pour les sauver? D'un coup, elle ne se sentit pas à la hauteur, elle se sentit, nule, vulnérable et sans défenses...

Elle pensa alors à tout les malheurs possibles dans ce vaste et dangereux monde... Et si elle ne pouvait pas protégée ses dragonets? Si elle arrivait trop tard... Que ferait elle? Elle ne pourrait le supportée...

Océan lui aussi, pensait de plus en plus à ne pas être à la hauteur... Il croyait qu'il ne pourrait pas défendre ses enfants et sa compagne... Il aimerais pouvoir pleurait, mais ses larmes se noieraient dans l'océan tilatanque... Un jour, il verrait bien si il était digne de son rôle de père.

Un courant chaud fouetta le dragon bleu ciel de plein fouet, ce dernier n'y prêta même pas attention. Il n'était pas vraiment présent en cet instant, entre deux mondes parallèles, comme si rien ne pouvait toucher son esprit ou son corps en ce moment même.

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